Il est venu, il a parlé et son auditoire l'a applaudi.
Il faut dire qu'il a salué le côté marxiste de l'amphithéâtre qui l'accueillait, lui le président des extrêmement riches et des actionnaires.
Nous n'avons pas échappé à l'hypocrisie d'un président de plus, venu dire que la France-Afrique c'est fini, pour de vrai cette fois (tout comme l'avais fait les trois précédents présidents français).
Ce qui est déroutant surtout, c'est de voir autant de burkinabè l'applaudir et se masser le long des routes pour l'apercevoir et le saluer, comme s'il était l'oracle tant attendu.
Il faut dire qu'il a salué le côté marxiste de l'amphithéâtre qui l'accueillait, lui le président des extrêmement riches et des actionnaires.
Nous n'avons pas échappé à l'hypocrisie d'un président de plus, venu dire que la France-Afrique c'est fini, pour de vrai cette fois (tout comme l'avais fait les trois précédents présidents français).
Ce qui est déroutant surtout, c'est de voir autant de burkinabè l'applaudir et se masser le long des routes pour l'apercevoir et le saluer, comme s'il était l'oracle tant attendu.
Le Président Macron guidant le peuple burkinabè, Ouagadougou, le 28 novembre 2017 |
CANON EOS 60D / CANON EF 24/105 mm f/4 L IS USM
Distance focale : 82 mm
f/10
1/640 s
ISO 400
Distance focale : 82 mm
f/10
1/640 s
ISO 400
Il me semble que cette sculpture de bronze devant les drapeaux des deux pays, à proximité de la Patte d'oie, résument tous les non-dits de ce voyage médiatique et bien pensant.
Nous la rebaptiserons donc : le président Macron guidant le peuple burkinabè
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